L'ouverture sent comme mes doigts après avoir mangé des Doritos au fromage, comme de la poudre de fromage, de la poudre d'oignon et du glutamate monosodique. Il y a de l'iris quelque part en dessous. C'est très, très étrange. C'est intéressant mais ça ne sent pas le parfum. En gros, sentez vos doigts après avoir grignoté des en-cas, du pain aux herbes, etc., c'est ça. C'est définitivement réussi, mais pas portable pour moi.

J'ai acheté New York Intense sur un site de réduction, et sur un coup de tête, j'ai ajouté celui-ci dans le panier, car j'ai entendu tant de gens en faire l'éloge dans des podcasts sur les parfums. C'était 10 euros pour 50 ml, donc rien à perdre. Ce à quoi je m'attendais, c'était une sorte de bonbon synthétique enfantin, mais ce que j'ai obtenu était loin de cela. C'est un vrai parfum avec nuance et beauté. C'est sucré, mais pas écoeurant, et il a cette qualité légère et éthérée que je ne peux pas m'empêcher de renifler. J'adore l'utilisation de la réglisse pour approfondir la composition et lui donner une légère touche. La plus grande surprise a été que je me suis retrouvé à le porter immédiatement, et c'est merveilleux. Pour info, j'ai 43 ans, je suis un homme intelligent, professionnel et indépendant vivant à Paris. C'est une aubaine pour le prix, et c'est le meilleur parfum sucré que j'ai rencontré depuis longtemps.

C'est un horrible, cheap, désastreux mélange. Une pastèque qui commence à se gâter. C'est frais pendant deux minutes puis l'odeur de melon chaud et rassis commence vraiment à s'installer. C'est un parfum à rincer, je perds vraiment tout intérêt pour la collection privée surévaluée et sans inspiration de Caron.

La base tigeuse, juteuse, sèche, verte et figuée de Dioriviera est également présente ici, mais je préfère Dioriviera. Cela dit, c'est un joli floral frais et humide. Il y a aussi une base musquée qui me rappelle Thé Cachemire. J'aime cet ADN floral austère de cette ligne, c'est assez original.

C'est presque parfait en tant que parfum de lait concentré photoréaliste. La raison pour laquelle ce n'est pas tout à fait parfait, c'est qu'au fur et à mesure qu'il commence à se développer, et pour le reste de sa très longue durée sur la peau, il a une note désagréable en dessous, que, il faut l'admettre, on ne perçoit vraiment que si l'on met son nez tout près, mais avec ce type de parfum, c'est exactement ce que je veux faire. La note désagréable est une sorte de plastique brûlé, quelque chose de caoutchouteux, qui devient plus forte pendant le développement final. Malgré ce petit problème, je l'adore et je n'hésiterai pas à vaporiser mes 30 ml au moment du coucher et pendant mes jours de repos.

Mauvais. Mort par géosmine, très fort, trop.

Le modèle aquatique de base des années 90, et le rendre fou, exquis, somptueux et noisette, voici le résultat. Merveilleux.

Un oud agréable, aldéhydé et fromager, comme Oud Khol mais avec une odeur d'oud plus authentique et plus de complexité.

Incroyable. Prenez le déjà merveilleux L'Atessa et ajoutez une base de vanille crémeuse et chaude, voilà, parfait.

Un geosmine très prononcé, infusant un lit complexe de nature herbacée, moisi, verte et camphrée. Très intéressant mais peut-être pas très portable. Un art olfactif indéniablement de haute qualité. Mise à jour - J'ai dû retirer la bande de carte de mon salon car l'odeur de geosmine était tellement nucléaire. Trop !