The Library Collection Opus VII, de Amouage a été lancé en 2013. Le parfumeur derrière cette création est Alberto Morillas and Pierre Negrin. Les notes sont Bois d'Agar (Oud), Ambre, Ambergris, Cardamome, Costus, Huile de cypriol ou Nagarmotha, Fenugrec, Galbanum, Cuir, Musk, Muscade, Oliban (encens), Patchouli, Poivre rose, Bois de santal.
Poivrées, dures, très sèches, les épices vous frappent en premier et comme un train de marchandises ! La cardamome et le fenugrec sont énormes et à la limite du désagréable. Le thème de ces parfums est que les notes de tête d'épices sèches existent comme un voile mince qui s'adoucit et s'amincit davantage, mais ne disparaît jamais complètement jusqu'à ce qu'il soit très, très profond dans le fond. D'une manière ou d'une autre, Amouage a créé quelque chose qui évoque toute l'imagerie et les sensations du Moyen-Orient et, une fois encore, lorsque les épices s'estompent un peu après une heure environ, le cœur et la base du parfum se révèlent et c'est merveilleux !!!!. Le Oud est charmant et fonctionne bien dans cette composition. Malheureusement, c'est le premier et le seul que j'ai essayé de la collection de la bibliothèque, mais il semble qu'il s'agisse d'un tour éducatif et tout à fait valable sur le carrousel d'Amouage. J'ai besoin de plus d'échantillons des autres. Mise à jour : Après l'avoir porté à nouveau depuis ma première évaluation, je dois dire que même si je n'accuserais jamais un parfum Amouage d'être linéaire et de ne pas posséder de profondeur, je n'ai pas pu passer outre ce départ lourd de cardamome. Mais au fur et à mesure que ce parfum évolue, on commence à percevoir une crème, du bois de santal, du Oud, un cuir certain qui se dégage après la première heure environ et la fumée est vraiment vraiment très bonne ! Il y a presque une douceur venant de quelque chose de profond sous toute cette lourdeur sombre et sombre et c'est aussi assez vert. Très complexe, complètement fou, presque satanique dans sa noirceur, j'imagine Al Pacino le porter dans le film Devils advocate ! (J'ai emprunté cette phrase à un autre chroniqueur, je ne me souviens plus qui, mais merci parce qu'elle m'a fait écho).
Poivrées, dures, très sèches, les épices vous frappent en premier et comme un train de marchandises ! La cardamome et le fenugrec sont énormes et à la limite du désagréable. Le thème de ces parfums est que les notes de tête d'épices sèches existent comme un voile mince qui s'adoucit et s'amincit davantage, mais ne disparaît jamais complètement jusqu'à ce qu'il soit très, très profond dans le fond. D'une manière ou d'une autre, Amouage a créé quelque chose qui évoque toute l'imagerie et les sensations du Moyen-Orient et, une fois encore, lorsque les épices s'estompent un peu après une heure environ, le cœur et la base du parfum se révèlent et c'est merveilleux !!!!. Le Oud est charmant et fonctionne bien dans cette composition. Malheureusement, c'est le premier et le seul que j'ai essayé de la collection de la bibliothèque, mais il semble qu'il s'agisse d'un tour éducatif et tout à fait valable sur le carrousel d'Amouage. J'ai besoin de plus d'échantillons des autres. Mise à jour : Après l'avoir porté à nouveau depuis ma première évaluation, je dois dire que même si je n'accuserais jamais un parfum Amouage d'être linéaire et de ne pas posséder de profondeur, je n'ai pas pu passer outre ce départ lourd de cardamome. Mais au fur et à mesure que ce parfum évolue, on commence à percevoir une crème, du bois de santal, du Oud, un cuir certain qui se dégage après la première heure environ et la fumée est vraiment vraiment très bonne ! Il y a presque une douceur venant de quelque chose de profond sous toute cette lourdeur sombre et sombre et c'est aussi assez vert. Très complexe, complètement fou, presque satanique dans sa noirceur, j'imagine Al Pacino le porter dans le film Devils advocate ! (J'ai emprunté cette phrase à un autre chroniqueur, je ne me souviens plus qui, mais merci parce qu'elle m'a fait écho).