Une mission impossible accomplie. 💛 L'Amouage Ubar, qui a été discontinué, est enfin entre mes mains. (Creations Aromatiques 1995) C'est très unisexe. Un magnifique style vintage floral blanc. Rien à voir avec les floraux blancs d'aujourd'hui. Très sensuel. Enivrant. Élégant. Très oriental avec une base balsamique et ambrée. Toutes ces fleurs semblent y être trempées. Aussi glorieux que je l'imaginais. ✨✨✨ Merci à @profumeriezanon à Udine, en Italie, de réaliser l'un de mes rêves. Ils avaient une collection incroyable de Clive Christians, d'ailleurs. Notes de tête : citron, bergamote, muguet, mandarine, orange, litsea cubeba et feuille de violette. Notes de cœur : jasmin, rose damascena, fleur d'oranger, ylang-ylang, tubéreuse, freesia et bois de rose palissandre. Notes de fond : civette, vanille, bois de santal, patchouli, vétiver, baume copahu et ambre noir. Critique approfondie plus tard. 06/24 Malheureusement, je n'ai pas senti le parfum original, qui a été lancé en 1995 et a été ensuite discontinué. Il a été décrit comme étant encore plus riche et boisé que la version qui a été lancée dans le nouveau flacon en 2009. Le mien est la nouvelle version qui a un capuchon magnétique et donc elle diffère le plus de l'original, étant de toute façon plus floral et ayant moins d'encens que la version à capuchon non magnétique (ce que j'ai lu). Ubar est un magnifique floral blanc de style vintage. Ce n'est rien de ce que sont les floraux blancs aujourd'hui et il ne peut pas être comparé à eux du tout. Je comprends pourquoi il a été discontinué, car il est difficile, il ne plaît pas du tout à la foule et il sent un peu démodé même s'il a déjà été reformulé en une version plus facile. Mais pour moi, toute cette complexité le rend si spécial. C'est si multi-couches, si merveilleusement mélangé et chaque fois que je le porte, je peux trouver de nouvelles choses, de petites nuances, différents types d'émotions. J'adore le fait que je ne peux pas séparer d'abord cette tubéreuse écrasante qui a été faite de la même manière dans trop de parfums et ce jasmin enivrant qui n'a rien de nouveau à offrir. C'est comme une machine à remonter le temps vers le passé. C'est très sensuel. Enivrant. Élégant. C'est passionné et d'une certaine manière, d'une luxure pécheresse. C'est profond et fort comme beaucoup de parfums avant les années 90 et c'est même un peu plus de tout. Le parfum est très oriental avec une base balsamique et ambrée. Toutes ces fleurs semblent y être trempées et imbibées depuis longtemps. Ubar est aussi glorieux que je l'imaginais, mais je ne peux pas m'empêcher de penser à la version à capuchon non magnétique, ou même à l'original. Quoi qu'il en soit, je vais apprécier mon voyage avec celui-ci car il est stupéfiant. Je dois juste faire attention avec, pas de surpulvérisation comme avec la plupart de mes parfums. Un jour, quand je serai dans le bon état d'esprit avec elle, j'analyserai davantage le parfum lui-même. Elle mérite toute mon attention. Merci de m'avoir lu et si vous voulez me suivre sur IG : @ninamariah_perfumes
Je dois commencer par dire qu'Ubar est le parfum le plus cher que je possède. Après avoir vidé deux grandes carafes, je savais que je devais l'avoir. Le fait est que je peux à peine détecter les notes. Il est si bien mélangé et élaboré qu'il sent tout simplement... incroyable ! Je ressens une sensation citronnée qui, je suppose, est due à la bergamote et au muguet, suivie de la rose. C'est ce que j'obtiens sans aucun doute ! Grosse, audacieuse, musclée et confiturée comme aucune autre rose que j'ai sentie auparavant, même si elle n'est pas répertoriée ! Il me coupe le souffle. La sensation de brûlure que je ressens est probablement due aux indoles du jasmin, ou peut-être à la civette. Elle n'est pas répertoriée, mais son grognement animal est incomparable et je suis presque sûr qu'elle est dans les notes de base. Ubar évoque des lieux, des terres exotiques lointaines, où les rois et les reines vivent dans le luxe le plus extravagant. Il sent la richesse, mais pas dans le sens de l'argent. C'est la richesse de l'utilisation des meilleurs ingrédients pour créer une œuvre d'art. Il sent le vintage de la meilleure façon qui soit. Rien de sucré ou de fruité ici, Dieu merci ! Dommage qu'ils ne soient plus fabriqués comme ça. Il aurait pu être créé dans les années 20, autant que je puisse en juger, et il n'aurait pas été déplacé. Je ne le trouve pas particulièrement unisexe, mais la chimie de la peau est une petite chose bizarre ! Je suppose que les riches fleurs et la base boisée musquée conviendraient à merveille à la bonne personne, à condition qu'elle n'attribue pas d'étiquettes aux parfums. Je sais que ce n'est pas mon cas. Ubar est l'un des parfums floraux les plus riches que je possède, mais il n'est pas lourd pour autant. Le sillage est massif mais aérien, comme un nuage cotonneux qui vous entoure sans crier. Les vraies femmes ne crient pas ! La longévité est d'environ une éternité sur ma peau. En résumé, je l'adore. J'obtiens la rose la plus profonde et la plus riche, un grognement animal sur un lit de bois de santal doux, et le meilleur sillage en ville. Qu'est-ce que je peux demander de plus ? L'un des meilleurs parfums d'Amouage et l'un des plus beaux que je possède. Recommandé à tous !
Un grand floral oriental blanc et opulent ! Comme on n'en fait plus. Comme si même Amouage ne les faisait plus avec leur nouvelle direction. 2009 edp review. Bouchon non magnétique. Ubar, comme la cité perdue, c'est un joyau perdu. Je n'ai aucune idée s'ils le fabriquent encore et si c'est le cas, si quelqu'un l'achète. Mais Ubar est un merveilleux grand parfum dans le style opulent de Boucheron, Ysatis, Gala... Des fleurs blanches spectaculaires qui se fondent dans une base épicée riche en résines et en encens, avec juste une bouffée de fleurs jaunes qui ajoutent une touche de méchanceté au parfum. Il y a une touche légèrement acide de civette, qui s'amplifie au fur et à mesure que le parfum se répand, et qui ne fait qu'ajouter de la dimension aux riches jasmins, ylangs, tubéreuses et fleurs d'oranger, les rendant encore plus narcotiques. Ils sont tellement riches et beurrés qu'ils en deviennent onctueux. La fusion des épices, des résines, des larmes d'encens et du bois de santal le place au niveau des joyaux vintage et, bien qu'il ne s'agisse pas d'un chypre, son odeur est très proche de celle du magnifique 1000 de Patou. Il pourrait s'agir de son frère arabe, qui arrose la beauté chyprée du 1000 d'une bonne dose de fumée et de secrets. Un conte de deux villes, un conte de 1001 nuits. Ubar est stupéfiant ! Il sent la richesse comme d'autres ne le font pas. Il se démarque de la gamme Amouage et semble absolument taillé dans la même étoffe que les originaux Jubilation 25 et Gold. Il a la même opulence, la même puissance et le même sillage qui ne s'essouffle jamais, mais il ajoute une base animale plus discernable qui l'amène juste un peu près à faire rougir les deux précédents. Il évite les notes de tête fraîches (autres que les brefs aperçus citronnés de la litsea cubeba) et les amène directement sur le devant de la scène. Il faut vraiment aimer les grands et audacieux parfums dramatiques des années 80 pour l'apprécier pleinement. Il donne une impression de vieil argent, et il met les nouvelles lignes de nouveaux riches hors de l'eau sans perdre une goutte de sueur. Et je l'aime d'autant plus pour cela !
