Blamage, de Nasomatto a été lancé en 2014. Le parfumeur derrière cette création est Alessandro Gualtieri. Les notes sont Bouleau, Cuir, Musk, Notes boisées.
Ce parfum est un peu un gâchis. Je me souviens d'avoir lu le blurb à sa sortie et d'avoir poussé un "pffft !" à la perspective de ce parfum. Je me suis dit que ce serait soit un génie absolu, soit une horreur totale, mais en fait ce n'est ni l'un ni l'autre. L'ouverture m'a totalement rappelé un parfum que j'avais acheté quelques jours auparavant (CdG) Pharell Williams, 'Girl', qui a également un parfum étrange, troublant et non naturel... Ils ne sentent pas vraiment la même chose cependant. Blamage est un mélange difficile de notes boisées très lourdes, de fleurs vaporeuses et poudrées (peut-être iris/rose/violet ?), de quelque chose de métallique, d'ambré, de résineux et de tranchant, peut-être du labdanum, et d'un air de sophistication provenant du safran ? C'est une chose étrange... si c'est ce que Gualtieri et Nasomatto voulaient, je pense qu'ils ont réussi. L'aspect "extrait" est certainement présent en abondance ici, mais on a l'impression que, malgré tous les efforts déployés pour en faire une œuvre d'art remarquable, Blamage manque un peu de concentration. Le flacon est plutôt cool et son bouchon est intéressant, voire hideux. Cela ne doit pas faire oublier le reste de l'offre de Nasomatto qui, dans l'ensemble, est excellente et qui, en dépit de son caractère étrange, trouve sa place dans un espace (qui n'avait peut-être pas besoin d'être rempli ?).
Ce parfum est un peu un gâchis. Je me souviens d'avoir lu le blurb à sa sortie et d'avoir poussé un "pffft !" à la perspective de ce parfum. Je me suis dit que ce serait soit un génie absolu, soit une horreur totale, mais en fait ce n'est ni l'un ni l'autre. L'ouverture m'a totalement rappelé un parfum que j'avais acheté quelques jours auparavant (CdG) Pharell Williams, 'Girl', qui a également un parfum étrange, troublant et non naturel... Ils ne sentent pas vraiment la même chose cependant. Blamage est un mélange difficile de notes boisées très lourdes, de fleurs vaporeuses et poudrées (peut-être iris/rose/violet ?), de quelque chose de métallique, d'ambré, de résineux et de tranchant, peut-être du labdanum, et d'un air de sophistication provenant du safran ? C'est une chose étrange... si c'est ce que Gualtieri et Nasomatto voulaient, je pense qu'ils ont réussi. L'aspect "extrait" est certainement présent en abondance ici, mais on a l'impression que, malgré tous les efforts déployés pour en faire une œuvre d'art remarquable, Blamage manque un peu de concentration. Le flacon est plutôt cool et son bouchon est intéressant, voire hideux. Cela ne doit pas faire oublier le reste de l'offre de Nasomatto qui, dans l'ensemble, est excellente et qui, en dépit de son caractère étrange, trouve sa place dans un espace (qui n'avait peut-être pas besoin d'être rempli ?).