Un parfum totalement abstrait qui sent à la fois très alien tout en étant suggestif de tant de choses différentes.
Tout d'abord, il sent très jaune. Et ce n'est pas seulement parce que je sais que la mimosa est l'une des notes. Une seule bouffée de cela et c'est la couleur singulière qui me vient à l'esprit, un jaune profond et intense. Il sent aussi chaud et poussiéreux, mais ce n'est pas la poussière chaude d'un paysage aride : c'est le lustre vitreux et métallique d'une ampoule chaude, ou d'un radiateur soufflant de la chaleur par une froide journée d'hiver. La note de vin présente est d'une manière ou d'une autre aussi marine, mais c'est la mer au loin, avec seulement la plus légère suggestion de celle-ci portée par une brise. Avant tout, c'est incroyablement aérien et suggestif de vastes espaces ouverts, mais c'est l'espace d'un entrepôt de stockage inutilisé ou d'un immeuble de bureaux inoccupé. Quant au bois, je n'en perçois aucun.
C'est tout à fait différent de tout parfum que j'ai rencontré, et si Christophe Laudamiel n'avait pas discontinué sa ligne Zoo, cela vaudrait une bouteille de secours.
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il y a 6 mois
Spacewood, de The Zoo a été lancé en 2016. Le parfumeur derrière cette création est Christophe Laudamiel. Les notes sont Acacia, Mimosa, Vin blanc.
Un parfum totalement abstrait qui sent à la fois très alien tout en étant suggestif de tant de choses différentes.
Tout d'abord, il sent très jaune. Et ce n'est pas seulement parce que je sais que la mimosa est l'une des notes. Une seule bouffée de cela et c'est la couleur singulière qui me vient à l'esprit, un jaune profond et intense. Il sent aussi chaud et poussiéreux, mais ce n'est pas la poussière chaude d'un paysage aride : c'est le lustre vitreux et métallique d'une ampoule chaude, ou d'un radiateur soufflant de la chaleur par une froide journée d'hiver. La note de vin présente est d'une manière ou d'une autre aussi marine, mais c'est la mer au loin, avec seulement la plus légère suggestion de celle-ci portée par une brise. Avant tout, c'est incroyablement aérien et suggestif de vastes espaces ouverts, mais c'est l'espace d'un entrepôt de stockage inutilisé ou d'un immeuble de bureaux inoccupé. Quant au bois, je n'en perçois aucun.
C'est tout à fait différent de tout parfum que j'ai rencontré, et si Christophe Laudamiel n'avait pas discontinué sa ligne Zoo, cela vaudrait une bouteille de secours.