Fahrenheit 32, de Dior a été lancé en 2007. Le parfumeur derrière cette création est François Demachy and Louise Turner. Il a les notes de tête de Fleur d'oranger, notes de cœur de Vétiver, and notes de fond de Vanille.
De toutes les incarnations de Fahrenheit, je m'étais imaginé que je n'aimerais pas celle-ci. Parce que la bouteille est blanche ? Non, pas vraiment. C'est peut-être parce que j'avais l'impression que Dior était allé un peu loin dans l'étirement de la marque Fahrenheit. C'était trop s'éloigner ou abaisser ce qui est un parfum puissant et provocateur que l'on aime ou que l'on déteste et qui ne devrait pas être modifié pour plaire au plus grand nombre. Cependant, tout comme la version aqua, elle conserve suffisamment de caractéristiques du glorieux original et lui donne une nouvelle tournure. C'est un parfum très agréable, floral, assez vanillé, mais qui contient toujours ces notes de violette et de vétiver, et qui est sans doute plus facile à porter que l'original. Pas pour moi personnellement cependant... je trouve la vanille un peu trop féminine. Malgré cet avis positif, je ne me précipite pas non plus pour m'acheter un flacon, mais je suis contente qu'ils n'aient pas gâché un parfum emblématique. Je suis d'accord avec le fait que Fahrenheit a besoin de versions alternatives car il devient un peu trop au bout d'un certain temps.
En rétrospective, dans ma critique ci-dessous, j'ai été beaucoup trop facile avec ce parfum la première fois. C'est la troisième fois que je le porte et je me suis fait une opinion : Fahrenheit 32 n'est pas du tout à mon goût. J'ai toujours le plus petit soupçon de violette poudrée (suis-je en train de devenir folle/sauvage en pensant que c'est un flanker de Fahrenheit ?) à l'arrière de ce parfum mais 32 est principalement un parfum bon marché de vanille et de fleurs blanches. Ce n'est pas cette combinaison particulière de notes qui est en cause, car elle sent parfois bon, mais c'est plutôt la qualité médiocre qui l'affaiblit. La pomme est tombée loin de l'arbre.
De toutes les incarnations de Fahrenheit, je m'étais imaginé que je n'aimerais pas celle-ci. Parce que la bouteille est blanche ? Non, pas vraiment. C'est peut-être parce que j'avais l'impression que Dior était allé un peu loin dans l'étirement de la marque Fahrenheit. C'était trop s'éloigner ou abaisser ce qui est un parfum puissant et provocateur que l'on aime ou que l'on déteste et qui ne devrait pas être modifié pour plaire au plus grand nombre. Cependant, tout comme la version aqua, elle conserve suffisamment de caractéristiques du glorieux original et lui donne une nouvelle tournure. C'est un parfum très agréable, floral, assez vanillé, mais qui contient toujours ces notes de violette et de vétiver, et qui est sans doute plus facile à porter que l'original. Pas pour moi personnellement cependant... je trouve la vanille un peu trop féminine. Malgré cet avis positif, je ne me précipite pas non plus pour m'acheter un flacon, mais je suis contente qu'ils n'aient pas gâché un parfum emblématique. Je suis d'accord avec le fait que Fahrenheit a besoin de versions alternatives car il devient un peu trop au bout d'un certain temps.
En rétrospective, dans ma critique ci-dessous, j'ai été beaucoup trop facile avec ce parfum la première fois. C'est la troisième fois que je le porte et je me suis fait une opinion : Fahrenheit 32 n'est pas du tout à mon goût. J'ai toujours le plus petit soupçon de violette poudrée (suis-je en train de devenir folle/sauvage en pensant que c'est un flanker de Fahrenheit ?) à l'arrière de ce parfum mais 32 est principalement un parfum bon marché de vanille et de fleurs blanches. Ce n'est pas cette combinaison particulière de notes qui est en cause, car elle sent parfois bon, mais c'est plutôt la qualité médiocre qui l'affaiblit. La pomme est tombée loin de l'arbre.